Un petit calcul de rien du tout : Petites histoires mathématiques
Circonflexe

NOTE GLOBALE

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ÂGE CONSEILLÉ

5 - 8 ans

TAGS

#amitié | #calcul | #école | #mathématiques

Auteure : Nathalie Sayac

Illustratrice : Caroline Modeste 

Maison d'édition : Circonflexe

Collection : Aux couleurs du monde

Nombre de pages : 32

Date de parution : 06/01/2017

Un petit calcul de rien du tout est un livre composé de deux histoires abordant les opérations mathématiques. La première histoire s’intéresse plus particulièrement à l’addition tandis que la seconde fait découvrir le concept de partage et de division.

Histoire 1 : Léa et Anatole comptent leurs fournitures

En rentrant de l’école, Léa et Anatole se mettent à table pour faire leurs devoirs. Pour bien travailler, il faut sortir du cartable les trousses et les cahiers… C’est alors que Léa a une chouette idée : « et si on comptait nos fournitures, pour jouer ? À moi de commencer ! » Léa sort sa gomme de son plumier et Anatole les deux siennes : 1 gomme + 2 gommes, c’est facile ; ça fait 3 ! 

Comme c’est amusant de compter, Léa et Anatole décident de répertorier l’ensemble de leurs fournitures. Tout y passe : les crayons, les stylos et les feutres ! 

« J’ai 8 feutres », dit Léa. 

« Moi aussi… », répond Anatole.

Alors 8 + 8 =… 

Cette fois, les petits mathématiciens sont embêtés. La réponse semble leur échapper. Heureusement, Hannah (la grande sœur de Léa) arrive au bon moment pour les aider. 8 + 8, ça fait 16, bien sûr !

Mais assez compté, c’est l’heure du goûter !

Histoire 2 : Léa et Anatole partagent des chocolats

Cette fois-ci, Léa annonce à Anatole qu’elle a reçu une boite de délicieux chocolats. Mais pas d’inquiétude, elle les partagera de bon cœur avec son copain. À peine les deux enfants ont-ils divisé les 12 chocolats en deux, qu’un troisième ami frappe à la porte… bientôt suivi par une autre personne… Peut-on diviser 12 en 3 ? Et en 4 ?


Dans ce bel album aux illustrations fraiches et colorées, Nathalie Sayac et Caroline Modeste prouvent par a + b que les mathématiques sont aussi agréables et constituent un bon prétexte pour jouer. On y compte des stylos et des chocolats, à haute voix et sur les doigts. De quoi décomplexer les enfants les plus effrayés !